L'ENTONNOIR INSOMNIAQUE 2006
Magdalena / #2

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SOMMAIRE

Magdalena
L'Entonnoir Insomniaque : l'émergence
L'Entonnoir Insomniaque : la direction artistique
Les cartes blanches
Le lieu : Les Trinitaires
Pourquoi les 12, 13 et 14 janvier
Plan de communication
Programmation détaillée
Présentation des artistes
++++Compagnie Les bestioles
++++Do you like Sushi ?
++++Zéro degré
++++Gâtechien
++++Vialka
++++Kabu Ki Buddah
++++Love is OKAY
++++Gu Guai Xing Qiu
++++K. Branding
++++Doppler
++++Krotz Strüder
++++25
++++Loisirs
++++Toxic Kiss
++++DJs : On vous passera des disques, Pipi Chocolat
Contact

 

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Magdalena

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Magdalena est une association à but non lucratif créée pour défendre et développer les musiques actuelles amplifiées à Metz et dans la grande région .

Le bureau et le C.A. se composent d'artistes (notamment du groupe Le Singe Blanc ), acteurs culturels et amateurs ayant participé ensemble à l'organisation d'événements culturels à Metz ( festival Actor's Café au Théâtre du Saulcy, collectif Kuklos  : spectacle pluridisciplinaire avec des comédiens, musiciens et vidéastes, …).

Enfin, en 2003, le premier festival de musiques actuelles est organisé à la salle Robert Ochs  : Les Oreilles Engourdies, qui a accueilli environ 700 personnes sur 3 soirs.

Forts de ces expériences, les membres de Magdalena ont décidé de se structurer, afin de soutenir les groupes locaux et développer le secteur des musiques actuelles dont les équipements font défaut à Metz. L'association a donc axé son travail autour de la promotion (pour le groupe Le Singe Blanc) et de la diffusion, avec le festival l'Entonnoir Insomniaque, dont la première édition a eu lieu avec succès les 13, 14, et 15 janvier 2005 aux Trinitaires à Metz (plus de 1000 personnes).

 

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L'émergence

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La mise en place de L'Entonnoir Insomniaque répond à plusieurs envies.

Tout d'abord celle de retrouver l'énergie et l'émulation qui existent autour d'un festival, par l a concentration dans le temps et dans l'espace de personnes d'origines socioculturelles variées.

Par ailleurs, nous recevons régulièrement des sollicitations de groupes extérieurs cherchant à se produire à Metz mais qui se trouvent confrontés à l'absence de salle de diffusion des musiques actuelles.

Nous avons alors saisi l'opportunité de la vacance des Trinitaires pour organiser la première édition de L'Entonnoir Insomniaque et répondre aux demandes des groupes.

Or, le succès remporté par ce festival nous a fourni la preuve qu'il existe une forte attente du public et des artistes pour ce genre d'événement. C 'est pourquoi nous souhaitons pérenniser et développer cette initiative .

 

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La direction artistique

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Le nom : L'Entonnoir Insomniaque, comporte intrinsèquement l'idée artistique du festival : l'insomnie, l'incapacité de dormir, c'est la volonté de garder les yeux ouverts, ne pas se laisser endormir. L'image de l'entonnoir renvoie à l'ouverture, à l'absence de cloisonnement entre les genres et les publics, ainsi qu'à celle du fou avec un entonnoir sur la tête, l'illuminé, car l'un des buts du festival est qu'un brin de folie nous réchauffe en hiver.

Le but artistique du festival est de présenter des artistes ayant des démarches singulières qui flirtent avec les genres sans vraiment s'y inscrire, des « inclassables » , mais qui s'engagent dans des univers artistiques personnels.

L'enjeu est de créer un espace où se forme une communauté urbaine construite autour du partage de la musique.

Il s'agit de réunir des groupes d'artistes locaux (acteurs de la scène messine, régionale, et par extension, jusqu'à la grande région), des groupes invités , venant de France ou d'ailleurs et un public de curieux, de passionnés, composés d'une majorité de messins, mais aussi venant de Nancy, Verdun, Strasbourg, Luxembourg…

Nous souhaitons donc offrir une programmation de qualité , accessible grâce à une politique tarifaire populaire , à savoir : 5€/soir et un pass à 10€/ trois soirs.

 

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Les cartes blanches

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Nous voulons permettre à des univers différents de se rencontrer et de se nourrir en créant de nouvelles passerelles entre les genres. Parce que les mondes de l'art (selon l'expression du sociologue Howard Becker) se composent de maillons formant des réseaux complexes qui ne tiennent pas compte du cloisonnement entre les disciplines et que leur rencontre est essentielle.

Nous proposons donc une carte blanche à un groupe de comédiens et danseurs . Ils travaillent autour de l'insomnie, thème « symptomatique » du festival, pour créer une forme (improvisation, performance, ...) présentée tous les soirs en ouverture.

Parallèlement nous demandons à un groupe de musiciens de travailler sur le même thème pour présenter des propositions musicales lors des changements de plateaux.

Pour que ces formes, créées spécifiquement pour l'événement, puissent voir le jour, nous mettons en place des résidences en collaboration avec des structures fixes locales.

 

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Le Lieu : Les Trinitaires

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Les Trinitaires constituent l'espace le plus adapté, à Metz, pour la diffusion des Musiques Actuelles Amplifiées, bien que la jauge soit un peu serrée.

L e caveau sera équipé en matériel technique adéquat, la salle est agréable au public avec un espace d'écoute et un espace bar ouvert sur la scène, et son implantation souterraine permet d'étendre la soirée sans troubler le voisinage.

Par ailleurs, nous nous attachons à mettre en valeur la singularité des lieux, par l'éclairage et l'appropriation des différents espaces par les artistes (salle Ochs, couloir) afin de créer une ambiance insolite et chaleureuse.

De même, le bar du festival est un espace convivial , qui permet de se retrouver autour d'un verre : artistes, public et bénévoles, tous confondus.

 

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Pourquoi les 12, 13 et 14 janvier

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Nous avons remarqué que la période est propice : après les fêtes, l'offre est assez pauvre dans les salles de spectacles (où la programmation ne reprend généralement qu'à la fin du mois) ; les gens ne sont pas sortis depuis les fêtes, c'est le dernier répit des étudiants avant leurs examens et il fait plutôt froid à Metz !

 

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Plan de communication

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Nous souhaitons développer la notoriété de l'Entonnoir Insomniaque par le biais de la presse, notamment Le Républicain lorrain , le 7hebdo, La Semaine, Spectacles à Metz, Polystyrène, l'Est républicain ,… ainsi que les radios locales et les télévisions comme Radio bleue lorraine, RTL9 , France3 Lorraine,.. .

Notre démarche est également d'aller vers le public par le biais d'une communication active . Nous réalisons, toujours dans l'esprit du festival, des actions de promotion insolites auprès de la population locale. Ces actions se déroulent sous forme de performances dans la rue, les bars, sur le campus universitaire… et nous permettent de rencontrer réellement et physiquement le public pour le sensibiliser à l'événement.

 

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Programmation détaillée

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Tout au long du festival
Ouverture des portes à 19h00

Performances de la compagnie Les Bestioles (Metz)
Expositions photos permanentes (artistes locaux, édition festival 2005)
Carte blanche sonore à Do you like Sushi ? (Metz)

Jeudi 12 janvier

Zéro degré (Post rock/ Metz)
Gâtechien (Punky-noise/ Poitiers)
Vialka (Turbofolk progressif/ France-Canada)
Kabu Ki Buddah (No guitar-hero trio/ Lyon)

Vendredi 13 janvier

Love is OKAY (Rock/ Metz )
Gu Guai Xing Qiu (Electro-post-hardcore-grind/ Nancy )
K. Branding (Experimental rock/ Bruxelles)
Doppler (Noise rock/ Lyon)
Pipi Chocolat (DJ, Bruxelles)

Samedi 14 janvier

Krotz Strüder (Cold folk wave/ Nancy)
25 (Lo-fi garaj hxc/ Marseille)
Loisirs (Emo-core de looser/ Poitiers)
Toxic Kiss (Rock bubble gum mutant/ Strasbourg )
On vous passera des disques (DJ/ Nancy )

 

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Présentation des artistes

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Cie Les Bestioles (Metz)

La compagnie Les Bestioles s'est créée en Lorraine en 1997 afin d'y construire une plate-forme de création ouverte aux initiatives pluridisciplinaires pour tous publics.

Elle a créé une vingtaine de spectacles, des formes musicales, des formes pluridisciplinaires, accueilli des auteurs pour leurs créations et mis en place des laboratoires de recherches. Elle est devenue un groupe de rencontre entre des plasticiens, des comédiens, des musiciens, des auteurs, des metteurs en scène, des créateurs lumières et des costumiers issus d'horizons divers, et un public très présent.

Carte blanche : performances

"Un travail de recherche chorégraphique et vidéo.

Un groupe de dormeurs/somnambules/insomniaques en chemises de nuit blanches rigides. Ils bougent, collés les uns aux autres comme en image ralentie, en quête de ce qu'ils sont, en quête de leur espace, en quête de leur identité corporelle nocturne. Des corps perdus au milieu d'autres corps perdus. Ces corps de la nuit se remémorent comme en cauchemar leurs homologues diurnes : des images mouvantes frénétiques de ce qu'ils sont la journée sont projetées sur eux, en couleurs. Et les corps se rencontrent, se mélangent, au milieu du public. "

Contact : bestioles@numericable.fr

 

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Do you like Sushi ? (Metz)

Démonstrations ultra securitas

Contact : thefeelingoflove@altern.org  

 

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Zéro Degré ( Post rock/ Metz)

Souvent dispersé dans de nombreux projets (l'electro hiphop de Menuet, le postrock de Mélatonine , le postfolk de Maddy Faetherstone,...), Nicolas Tochet décide parfois de se rassembler pour bricoler une musique à la fois plus personnelle et plus aventureuse, entre electronica et postrock lofi sous le nom de Zéro Degré.

Le premier maxi de Zéro Degré, Les Ecrans, est sorti sur Le Kit Corporation. Son premier album sortira au premier semestre 2006 sur le label de Boston
Chez Moi Records .

Polystyrene n°89 - septembre 2005
« Baisse de température. Des mots susurrés, des blips électroniques et quelques notes de guitares : Zéro Degré, projet du messin Nicolas Tochet, plonge l'auditeur dans une musique dérangeante et pourtant séduisante. »

Magic n°87 - février 2005
« Illusoires, aliénants, les écrans dont il est ici question fantasment un réel sécurisant, au mouvement horloger. Sur fond d'une rythmique à la régularité clinique, une basse berce le morceau, trompe la vigilance. Mais les écrans sont alors ceux qui se déchirent, à la faveur d'un hasard sublime, d'une rencontre véritable, d'un miracle. A la suite des premiers morceaux de 0°, l'album se poursuit avec un ensemble de remixes, qui donnent une habile relecture de cet univers original, très personnel - comme si les compositions n'allaient pas tenir en place, mais plutôt, telles des plantes vivaces, adhérer à la surface, profiter des aspérités et des détails pour irrémédiablement croître et évoluer. »

Infratunes - novembre 2004
« Les Ecrans EP s'appréhende comme un réveil difficile. Lever d'oreille paresseux... Voilà, ça y est, on agrippe une note du morceau titre, une boucle concrète qui hésite à rythmer les mots dits de Zero Degré. Un piano caresse la mécanique qui se dérouille, Melmac n'est pas loin. Et voici Le réveil est difficile justement, qui permet de gagner doucement l'état conscient ; une batterie frottée, déjà plus assurée, pose le premier pied à terre. On émerge. Pour mieux s'immerger ensuite, dans un disque qui se révèle vite prégnant, entre post-rock, spoken words francophone, et électronique. »

Contact : www.zerodegre.net

 

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Gâtechien (Punky-noise/ Poitiers)

Gâtechien est un duo basse/batterie post punk de Poitiers flirtant avec l'expérimental au chant et aux paroles aléatoires.
Formé en janvier 2002 par Laurent et Florian, deux potes aussi déjantés et alcooliques l'un que l'autre, Gâtechien est né de l'envie commune de jouer une musique brute et décomplexée.
Après un premier 6 titres sorti dans l'urgence et bien accueilli par la scène indé, Gâtechien enregistre en août 2004 au Chalet (Bordeaux) avec Michel Toledo un deuxième maxi simplement intitulé 2. Il est distribué par Musicast.
Les concerts du groupe sont particuliers, ils dépendent de l'ambiance. On est loin des sets préétablis, Gâtechien, c'est une base de 50% de dérision et 50% de violence. Donc Gâtechien en concert ça peut être un moment de déconne violent ou un instantané de violence rigolote.

Perte et fracas (14/07/04)
« Gymnastique rythmique entre une basse et une batterie. Refrain connu que Gâtechien n'édulcorera en rien. A croire que cette formule est increvable ! Bordeaux nous avait déjà donné Belly Button. Le flambeau est repris avec Gâtechien. Projet défoulatoire. Six titres en une prise une seule en septembre 2002. Cracher son fiel tout en restant civilisé. Solidité rythmique, souple et nerveuse, mélodique toujours. »

Kerozene
« Gâtechien est un projet réunissant Florian from Gina Artworth et Laurent from Headcases (dont je vous conseille vivement le "Horns are really weel sharpened"). Leur terrain de jeu se situe entre Sloy (la voix et le côté groovy de la basse) et Belly Button (l'approche un peu barrée), une sorte de "punky noise au chant dérangé" comme le dit clairement la bio.
Un duo basse-batterie particulièrement intéressant et un premier jet convaincant. Un groupe qui mériterait bien plus qu'une appellation de projet parallèle.

Contact : www.gatechien.tk

 

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Vialka (Turbofolk progressif/ France-Canada)

Le duo dynamique de la Française Marylise Frecheville et du Canadien Éric Boros a apporté sa musique Turbofolk progressive et son style de vie aux quatre coins de la planète depuis cinq ans, originalement avec la section rythmique de la performance striptease jazz-punk NNY (basée en Suisse), avec l'improvisation expérimentale électronique Hermit, et maintenant avec Vialka. Ils ont vécu successivement en Suisse, en Slovénie, au Canada et en France.
Vialka est un sous-marin gonflable qui a survécu à la guerre commerciale. Elle voyage inlassablement autour du monde pour explorer la riche diversité de ses cultures avant qu'il ne soit trop tard. Vialka est une comédie bruyante qui n'a pas honte de ses manières, ni peur de la colère ou du ridicule. C'est une invitation à danser sur des rythmes explosifs, des mélodies terrorisantes, et des mouvements expérimentaux. C'est une symphonie dédiée à l'humilité de la chair, à travers le grand esprit du rock'n'roll.

Magic n°90 Mai 2005
« Bourrée déchaînée et chanson traditionnelle chinoise se télescopent, et la langue de Goethe succède à celle des Sex Pistols. Avec une énergie brutale, Marylise pousse le chant dans ses derniers retranchements, faisant valser ses personnages. Elle renvoie les griffures rauques des guitares, soutient les accélérations mathrock de la batterie et précède d'une bonne longueur les accès pourtant imprévisibles de compositions que ruent dans les brancards du hardcore, de la chanson réaliste et du world jazz. Aussitôt, Vialka s'engouffre dans les interstices et rebondit vers un autre niveau du scénario.

Punks dans l'âme, habités pas ces "mélodies terrorisantes", ils préfèrent épingler au mur, plutôt que les clichés trop évidents, les justes nuances qui les fissurent. »

6bears.com
« Tout est dans le titre, ce CD des Vialka est bien une curiosité. Formé par Éric Boros et Marylise Frecheville, ce duo franco-canadien se démarque par une patte qui jongle avec le rock d'une façon expérimentale et parfois proche des délires du Velvet Underground du temps de la Factory »

Contact : http://vialka.com

 

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Kabu Ki Buddah (No guitar-hero trio/ Lyon)

Du free punk pour l'astuce et du punk cabaret pour l'aspect… Un violoncelle, un trombone, des voix en veux tu en voilà et l'orgie sonore de Kabu Ki Buddah peut commencer !
Les musiciens de Kabu Ki Buddah sont complètement déjantés, loufoques et transpirent la bonne humeur. Ils sont prêts à vous faire danser, chanter et virevolter jusqu'à perdre haleine.

Rocksound
« Le kabuki est un étange animal quasi indescriptible (…) entre précipitation et à la tex avery, chœurs de comédie musicale qui sembleraient provenir d'un film troma, noise hardcore, big bang 70's (…) vicieux mais savoureux. »

Kérozène
« On ne s'ennuie pas une seconde, chacune de ces secondes pouvant apporter une nouvelle surprise… on sourit autant à leur sens de l'humour qu'on apprécie la qualité de leur musique (…) et quand le trio nous balance quelques passages de pur power-noise, avec parcimonie mais à très bon escient, on est bon pour la traversée de frissons le long de l'échine… »

Contact : http://kabukibuddah.free.fr

 

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Love is OKAY (Rock/ Metz)

1967 †1994

White wild teenagers ride motorcycles
through the country
under the sun

free
and tattooed !

Duo rock guitare, voix, batterie
Jean-Philippe G : batterie
Guillaume M : guitare

Contact : thefeelingoflove@altern.org

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Gu Guai Xing Qiu (Electro-post-hardcore-grind/ Nancy )

Un projet franco-chinois d'electro-post-hardcore-grind, composé d'une basse/chant, d'une batterie/chant, de programmations électroniques/chant et d'un chanteur.
Furieux, agressif et extrême, la musique de Gu Guai Xing Qiu mêle des samples discrets, des hurlements à quatre voix alternées ou croisées et une rythmique alliant batterie survoltée et basse noisy.
Jouant sur les ruptures de rythmes, les ambiances (radio cheap, bruits de bottes, chant suffocant…) et les déchaînements décoiffants.

Contact : www.guguaixingqiu.fr.st

 

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K. Branding (Experimental rock/ Bruxelles)

Shoot me again - Augustus 2005
« K-branding est un trio composé de Vinch au saxo et aux cris (mais pas les deux en même temps), Sébastien à la batterie (ex-quiet) et Duby à la Guitare (tif). Ils mélangent allègrement noise, jazz et un tout petit chouia de métal. On passe de moments dansant à des moments plus tendus et cela semble couler de source.
Moins extrême que celle de tif, la musique de K-branding devrait trouver son public chez les amateurs de musiques un peu barrées grosso modo entre Sweep the leg johnny, Fantômas et Ex models.
Du blanc-bleu-belge à suivre ! »

Guts of darkness March 2005
« Loin des caricatures, la musique de K tournoie et va piocher son groove, sa fascination des rythmes tribaux, sa débauche d'effets cataclysmiques dans la scène new wave new yorkaise de la fin des années soixante-dix, James Chance et consorts... Mars, et puis quoi encore ? Quoi qu'il en soit, en plus noise, quoi. Des effets, en veux tu en voilà. Sur les voix. Sur le sax. Ça distortionne. Ça flanger. Ça delay. Ça overdrive. Ça shifte. Le chaos, K. Du Mike Patton ? Pourquoi pas ? Les cris, cette voix, le sax qui piaffe. La guitare qui hypnotise avec ses notes en haut, ses notes en bas. La pulsation cardiaque cadencée de K canalise toute notre attention. La batterie qui écrase de tout son poids un beat, une furie irrépressible, une vitalité qui rendrait presque jaloux. Cascades et carambolages au menu de K. La cavalcade de K n'en est qu'à ces premiers pas. Un cas ce K. A surveiller, dans tous les cas. Croyez-moi... »

Contact : www.k-branding.tk

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Doppler (Noise rock/ Lyon)

DOPPLER est un trio noise rock formé à Lyon en 1997. Leur musique est à rapprocher du son de labels tels que SKIN GRAFT, TOUCH and GO, PANDEMONIUM, et de la scène noise française des années 90, période DEITY GUNS/BÄSTARD, CONDENSE, ULAN BATOR ...
Explosif, oppressant, compact, puissant, hypnotique, sombre, torturé, massif, obsédant, intense, frénétique, lourd, avec une touche étrange d'humour noir...Voici quelques mots souvent utilisés pour tenter de décrire ce qui ne se décrit pas mais qui s'écoute...

Rejetons de la scène noise revendiquant leurs influences aussi bien du côté de The Jesus Lizard que de Condense, Sleeppers ne sont pas bien loin non plus et quand le tempo ralentit on serait presque tenter de citer Neurosis, mais assez furtivement tout de même.
Même si comme le dit le sample « Ils font une musique que personne ne danse », il est difficile de s'en tenir au simple tapement de pied à l'écoute de ce disque et c'est tout le corps qui se retrouve pris d'un mouvement incontrôlable devant le nombre de différents éléments à suivre. Un mouvement presque mécanique digne d'un robot se heurtant inlassablement au même mur, tentant vainement de s'en écarter, répétant inlassablement la même manœuvre programmé par ses créateurs, jusqu'au moment où la machine prend vie, s'emballe, brise ses chaînes et part mener sa propre existence.

Contact : http://dopplernet.free.fr

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Krotz Strüder (Cold folk wave/ Nancy)

La musique se construit sur un jeu de guitare épuré, une cold wave minimaliste, un blues doux ou un orgue boosté à la boite à rythme. La voix, tour à tour monocorde, parlée, doublée ou chantante, débite les textes en en exacerbant la noirceur. Quelque chose de frais semble cependant planer, une fraîcheur relative (bien entendu) due, entre autres aux rythmes rock et au blues serein de la guitare.

Magic
« Figure lunaire et anachronique, Krotz Strüder est de la trempe des illuminés.

Ni réellement country blues, ni franchement gothique, cet album de libre penseur semble avoir tiré une perpendiculaire à sa base mélodique, entre chanson réaliste et folk sans age. Voix brisée, caverneuse et irréelle, tout près de se fondre imperceptiblement dans les arrangements, Strüder arpente ses ballades, en s'appuyant sur la poésie de Blake ou Apollinaire. Le bonhomme est lui même nouvelliste à ses heures et dispense dans ses propres textes de chanson une langue bourrue et bougrement humaine. Il y est question de destin, d'aventure et de lâcheté, ça sent la chair et la gnôle. En français, en anglais ou en allemand, intrigant et attachant. Intrigant car attachant, et vice versa. »

Idem
« ici, il n'est pas question de vide culturel, de divertissement par la musique. Nous sommes dans l'émotion pure. Strûder est un créateur de l'ombre, mystérieux» et touchant, un artiste ne faisant pas de compromis, fidèle à son art. »

Contact : http://perso.wanadoo.fr/k.strüder

 

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25 (Lo-fi garaj hxc/ Marseille)

100 % lo-fi garaj hxc, simpliste comme COSMIC PSYCHOS, détraqué comme BUTTHOLE SURFERS, acide et piquant, potentiomètre dans le rouge, les yeux écarlates... Vérifiez quand même avant écoute que le contrat d'assurance de vos haut-parleurs court toujours !!!

Loco Loco , 2001
« Groupe hors normes en apparence, le trio marseillais 25 se revendique d'un esprit punk qu'il tente de ranimer en lui insufflant une bonne bouffée d'air frais parfumée aux acides. Effet des substances prohibées, les 3 keupons psychés bouleversent les habitudes et re-dynamisent le genre en un joyeux trip'punk festif où l'on peut croiser au hasard Bob Log, John Spencer, les Beastie Boys, Dionysos, (petit) Vodo et autres hurluberlus du genre. Un vrai bonheur ! »

Nouvelle Vague , 1998
« Des chansons punk rock pêchus, originales par leurs structures chaotique, truffées de plans guitares non homologués. Basse de psychotique sous lithium, batteur inoxydable à l'épreuve du temps. Bref un power trio dévastateur de punch. Exit l'ambiance gros délire fiesta , les garçons redeviennent sérieux tout en kiffant un max ambiance chimique sans édulcorant ni Aspartan, que du bon et à plein nez. Attention l'abus de 25 est irréversible. »

Wild Record , 05/2003
« Punks sous acide de la Planète Marseille !! Un trio barré entre punk-électro, ragga-dub-core et autres ambiances d'illuminés. Ca sent la bande de déjantés bien arrosés d'anis et ils s'éclatent grave ! Le son de la gratte est bien crado comme il faut, les textes en français sont explicites. On surfe entre les styles dans un esprit punk affirmé et assumé, ça fait plaisir à entendre. Des clins d'œil vers les Beastie Boys, Sex Pistols, Public Enemy ou encore Fugazi. Un joyeux barouf qui doit prendre de l'ampleur sur scène. »

Contact : http:// www.acid25.com/

 

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Loisirs (Emo-core de looser/ Poitiers)

Du rock à paillettes?
non!
rien à gagner puisque rien à perdre
prétentieux car sans prétention
cliché comme la loose accrochée à chaque combo rock français chantant en anglais
fier comme un coq
faire ce que l'on aime avec ce que l'on a
le pep's & la patine
célébrités crypto locales
loisirs met la barre haut
c'est plus facile de passer en dessous
la musique rend sourd
question de bouche à oreille
french bashing
puisqu'on est jeunes et cons
sinon pour bouffer on est 4

LOISIRS s'est formé en fin 2000 à Poitiers sans raison valable sinon de faire de la musique de jeunes tatoués jouée par de vieux gras. Un line-up d'une originalité folle (basse, guitare, batterie, clavier, voix), des ex-stars-locales aux surnoms inspirés (Bifi, La Machine, Tiger et P'tit Greg), tout ce qu'il faut pour foncer dans le mur en klaxonnant.
A force d'organiser des concerts ou d'en faire, l'envie de s'y (re)mettre, en partant de rien, juste pour toucher du doigt le plaisir de jouer ensemble dans des locaux surchauffés et squattés.
Puis des scènes sonorisées ou non et une réputation non usurpée de meilleur groupe de branleurs américains de Poitiers (facile)…
D'après quelques avis éclairés, c'est du coté de Shotmaker, Milemaker ou Robocop Kraus – du rock en quelque sorte – qu'on retrouve les influences les plus évidentes. Et quelques touches clavier/pop à la Rentals pour orner le tout.
Après, c'est à chacun de voir...

Contact : http://loisirsmyralee.free.fr

 

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Toxic Kiss (Rock bubble gum mutant/ Stasbourg)

Début 2003, Toxic Kiss est sorti tout droit du ventre de Strasbourg pour nous présenter son "Rock bubble gum" mutant, électrique et plein de féminité. Sur scène comme sur disque, on perçoit immédiatement une montagne d'influences : Glam Rock ( D. Bowie , T.Rex ), Brit Pop ( Kinks , Blur ), Rock garage ( Cramps , White Stripes ), punk new-yorkais ( Ramones , Blondie ).
Un mélange détonnant, binaire et ravageur, mais bien moins naïf qu'il n'y paraît - imaginez par exemple la rencontre excitante des Dead Kennedys après une cure de jouvence et des B-52's à l'hystérie retrouvée - Toxic Kiss dégage une énergie cinglante et débridée qui laisse percevoir dans les moments les plus incisifs quelques réminiscences "no-wave".
L'originalité de Toxic Kiss provient certainement de ce désir obsédant de mélanger punk rock et pop sixties. L'instrumentation est un bulldozer unidirectionnel et les chants, mélange de voix filles & garçons, restent eux harmonisés en arc-en-ciel. Un bonbon doux & violent, mûr et teenage, sombre et coloré : tout en contraste donc. Evidemment - comme beaucoup de groupes de leur espèce - leur fun power pop se déguste à sa juste valeur : devant un set survolté et épileptique. Un moment intense où l'on ne cessera de s'amuser devant pareils extraterrestres. Sympas ou méchants ? Ils sont habillés normalement, alors on ne le saura jamais.

Rock & Folk (février 2005)
« Deux ans après leurs débuts, les six TOXIC KISS de Strasbourg attirent l'attention avec un premier album explosif qui illustre parfaitement leur concept rock bubble gun : un mélange détonnant et savoureux de punk rock et de pop. Dans les morceaux les plus débridés (notamment une ouverture sur les chapeaux de roue), les chœurs féminins ou mixtes qui évoquent les B-52's constituent le contrepoint acidulé d'une énergie survoltée. Cet album résolument fun illustre avec brio une certaine vision du rock'n roll. »

Contact : http://www.novalisimpulse.com/site/toxickiss/home.htm

 

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Les DJs

On vous passera des disques (Nancy)

ON VOUS PASSERA QUOI? du rock'n'roll qui déboite- de la pop - du funk - du mambo - de l'electro - de la variété - de la musique hawaïenne - de la soul - du hard-core - du rap - de l'exotica - du boogaloo - du reggae et plein d'autres bétises  

VOUS POUVEZ NOUS ECRIRE! funkytoy@hotmail.fr

Pipi Chocolat (Bruxelles)

Rock, noise, électro mix …

Contact : emmanuelleroisin@yahoo.com  

 

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Contact

Association Magdalena 3 rue Vauban 57000 METZ
Clotilde Ast : 06.72.76.80.55

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